La Maisonnée Atréides

La Maison Atréides
Modèle mythologique
Ils sont les descendants de la maison grecque des Atrides, fondée par Atrée, dont le membre le plus connu est Agamemnon, celui qui mena et remporta la guerre de Troie.
Fremen vassal de la Maison Atréides

Les Fremen sont le peuple premier de Dune, descendants des nomades Zensunni, une communauté schismatique. Les Zensunni ont dû naviguer de planète en planète dans l'espoir de trouver un lieu d'habitation. Refoulés par la plupart des peuples, ils finiront par trouver une planète désertique qu'ils appellent Dune, connue sous le nom d'Arrakis dans l'Empire.
Profondément marqués par la condition apatride de leurs pères, et surtout par le mépris des autres peuples, ils se proclament Hommes Libres de Dune. Vrais habitants de Dune, ils ne laisseront personne essayer de les déposséder de leur planète. Habitués au rude climat d’Arrakis, ils savent économiser et recycler l’eau de toute chose. C’est en effet une denrée précieuse sur cette planète si terriblement sèche. Les Fremen en font même leur monnaie d’échange et un pivot central de leur culture.
Les Fremen consomment des quantités importantes d’Épice. De plus, l'air d'Arrakis en étant saturé, ils vivent de manière presque permanente sous l'influence de l'épice. De par les propriétés du mélange, les yeux des Fremen sont bleu sur fond bleu (sans blanc), de même que tout Homme en absorbant en trop grande quantité. Pourtant, les Fremens ne semblent pas dépendant du mélange, ce qui laisse supposer que leur organisme est parfaitement adapté à la proximité de la substance.

Vie
Les Fremen sont disséminés en tribus voyageant dans le désert, faisant des haltes dans des habitations aménagées dans des roches, les sietchs. Ces grottes, habitat traditionnel, sont dirigées par des Naib : ceux qui ont juré de mourir plutôt que d’être capturé par l'ennemi.
Les sietchs abritent des réserves d’eau recueillie précieusement avec des filets lors des faibles rosées du matin, ou par des pièges à vent qui capturent toute l’humidité de l’air. Ces réserves sont la base du grand projet de modification écologique de la planète Arrakis, imaginé par Pardot Kynes. Le peuple Fremen paye d’ailleurs de faramineuses sommes d’épice à la Guilde pour en acheter le silence, l’organisation spatiale ayant repéré depuis l’orbite des zones de la planète où les Fremen créent des oasis pour progresser sur le désert.
Le Distille
Le distille est un des éléments les plus important de la vie d’un Fremen : il s’agit d’un vêtement intégral qui, une fois correctement mis, ne laisse libre que les yeux du porteur, et par un jeu de micro-mécanismes et de principes physiques élémentaires, récupère l’eau du corps émise dans la transpiration, dans les déchets humains ou la vapeur émise par la parole. Un Homme portant un distille correctement ajusté est censé pouvoir survivre avec « un dé à coudre d’eau par jour ». L’eau récupéré est répartie dans des poches spéciales. Des tuyaux flexibles à plusieurs endroits permettent de boire.
Un Fremen croisant dans le désert un homme sans distille est d’ailleurs sommé de le tuer et de récupérer son eau.
Culture
Les Fremen suivent un code d’honneur rigoureux. Ainsi, ils répertorient des “insultes mortelles” dont l’affront ne peut être lavé que par la mort. Un Fremen peut avoir plusieurs femmes, mais s’il ravit celle d’un autre, un duel s’ensuit. Ces combats se font au Krys, armes taillés dans la dent d’un ver des sables, rare et précieuse, censée se dissoudre à la mort de son propriétaire. Chaque Fremen doit gagner le droit de porter un Krys (souvent en chevauchant un ver).
Croyances
Descendant des Zensunni, les Fremen sont un peuple profondément croyant, et très superstitieux. Dans le cadre de leur grand projet de recherche du Kwisatz Haderach, les Bene Gesserit ont implanté en eux l'espérance de la venue d'un prophète étranger, le Lisan al-Gaib c'est-à-dire la voix d'ailleurs. Ce prophète devra guider tous les Fremen.
Le culte principal est celui de l'eau, symbolisant le vie dans ce monde aride. Ainsi quand un Fremen meurt, on dit qu'il rend son eau à sa tribu, au sens figuré, mais également au sens propre, son cadavre étant traité dans un "distille de mort" qui récupère toute l'humidité de son corps pour alimenter la citerne de la tribu.
Les Fremen ont une déification du ver des sables ou Shai-Hulud, ce qui explique l'importance qu'ils accordent au fait de chevaucher un ver, et la valeur qu'ils donnent aux Krys qu'ils taillent dans des dents de ver des sables. Malgré tout, les Fremen connaissent les dangers de leur dieu et utilisent des tactiques élaborées pour les appeler. Ils connaissent également l'effet Holtzmann des boucliers depuis plus longtemps que les grandes Maisons. L'effet Holtzmann attire les vers des sables et les rend fou, condamnant le porteur de bouclier à une mort presque certaine.

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Stilgar Naib du Sietch Tabr

Caladan, troisième planète du système Delta Pavonis, est le fief ancestral de la Maison Atréides et le monde de naissance de Paul Atréides où il a passé les quinze premières années de sa vie. Les Atréides ont vécu sur Caladan pendant vingt-six générations dans le Castel Caladan, avant d’émigrer vers Arrakis suite à des pressions politiques.
La surface de Caladan est majoritairement immergée et son climat caractérisé par d’importantes précipitations et des vents puissants, sans pour autant nécessiter de mesures de contrôle climatique spéciales et coûteuses. Les terres habitables sont essentiellement constituées de prairies, de marécages et de forêts touffues. L’économie de Caladan est principalement agricole, la variété locale de riz Pundi constituant le premier produit d’exportation et la pêche étant le moyen de subsistance traditionnel de sa population. Elle comporte également des produits secondaires, dont le vin et le bétail, principalement bovin. La cuisine caladanaise est plutôt rafinée, la majorité de ses plats contenant de la viande.
Caladan possède une puissante force de défense militaire fondée sur la supériorité navale et aérienne, et la population de Caladan est farouchement loyale a la Maison Atréides. On dit que les forces d’élite de l’infanterie Atréides rivalisent d’adresse avec les Sardaukars de l’Empereur. En raison d’une telle puissance militaire, Caladan est considérée comme imprenable, ce qui pousse les ennemis des Atréides à les attirer vers une position plus vulnérable : Arrakis.
: Arrakis« Arrakis enseigne l’attitude du couteau : couper ce qui est incomplet et dire “Maintenant c'est complet car cela s'achève ici” »
Cette planète est la seule et unique source dans l’univers de l’Épice.
Arrakis est une planète désertique écrasée de chaleur où survivent des indigènes, les Fremen, qui l’appellent Dune. Elle est également peuplée de vers géants qui attaquent tout ce qui s’aventure sur les sables de la planète.
La planète était un fief de la Maison Harkonnen avant qu’elle ne soit confiée par l’Empereur à la Maison Atréides , créant ainsi les bases de l’affrontement entre ces deux grandes familles de l’Empire.
Après la victoire de Muad'Dib en 10.193 AG (Après la Guilde), Arrakis devint la planète impériale. À l’aube du 103e siècle, la terraformation d’Arrakis commence à porter ses fruits : l’herbe pousse, ce qui entraîne la disparition des vers jusqu’au moment où Leto Atréides II, fils de Muad'Dib, commence à vivre en symbiose avec des truites des sables. Cette symbiose aboutira à la métamorphose du nouvel Empereur en Ver des Sables à face humaine, le dernier Ver des Sables vivant sur la nouvelle Rakis. La mort de l’Empereur-Dieu entraînera la Grande Dispersion, mais aussi le retour du désert : Rakis retrouve le mode de vie de l'ancienne Arrakis, et les mêmes coutumes d’eau.

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Paul Atréides a triomphé de ses ennemis. En douze ans de guerre sainte, ses Fremen ont conquis l’univers, partout flotte la bannière verte des Atréides. Il est devenu l’Empereur Muad'Dib. Presque un Dieu, puisqu’il voit l’avenir. Ses ennemis, il les connait : la Guilde spatiale, le Bene Gesserit, l’ancienne Maison Impériale Corrino et évidemment le Bene Tleilax. Il sait quand et comment ils frapperont. Ils vont essayer de lui reprendre l’Épice qui donne la prescience et peut-être de percer le secret de son pouvoir.
Il sait que tous les futurs possibles mènent au désastre. Il est hanté par la vision de sa propre mort. Et s’il n’avait le choix qu’entre plusieurs suicides ? Et s’il ruinait son œuvre en matant ses ennemis ? Peut-être n’y a-t-il pour le prescient pas d’autre liberté que celle du sacrifice…

MIYAMOTO MUSASHI
Il est l'auteur d'un ouvrage de stratégie, le Gorin no shō écrit à l'âge de 60 ans, traduit en français par Livre des cinq anneaux ou Traité des cinq roues. Vers la fin de sa vie, il médita et fit une introspection sur son passé et son expérience ; il en déduisit que les principes qu'il avait mis en œuvre dans son art martial (duels) pouvaient aussi être mis en œuvre non seulement en stratégie militaire (affrontement de masse) mais aussi dans tous les domaines. Les « cinq anneaux » ou « cinq cercles » font référence aux cinq étages des monuments funéraires bouddhiques (gorintō) qui représentent les cinq éléments de la tradition japonaise. Le livre comporte donc cinq chapitres :
• Terre : Musashi explique ici les grandes lignes de sa tactique et pour rendre plus accessibles ses explications il la compare au métier de charpentier.
• Eau : Musashi expose une méthode destinée à se forger soi-même physiquement ou spirituellement. Il explique comment conserver la vigilance de l'esprit, le maintien du corps, des yeux, comment tenir un sabre et s'en servir, la position des pieds, etc. Tout ce qu'il écrit se base sur sa propre expérience, acquise tout au long de sa vie à force de combats et d'exercices menés sans relâche pendant de nombreuse années. Ce qu'il écrit n'est pas le fruit de son imagination, et chacun peut en tirer profit pour soi-même quelque soit le genre de vie que l'on ait.
• Feu : Musashi explique la tactique à appliquer dans le simple duel et dans les grandes batailles. Musashi pense que les mêmes règles les régissent.
• Vent : Critiquant les caractéristiques des autres écoles, Musashi fait ressortir l'esprit philosophique de son école Niten.
• Vide : Un énoncé de l'idéal du samouraï ; la notion de vacuité en tant que but à atteindre est un thème récurrent dans le budō et l'aboutissement de la tactique de Musashi peut se résumer en un mot : Vide. Le Vide est comparable au firmament purifié de tous les nuages de l'égarement.
La Voie à suivre seul
o Ne pas contrevenir à la Voie immuable à travers les temps.
o Eviter de rechercher les plaisir du corps.
o Etre impartial en tout.
o N'être jamais cupide durant toute la vie.
o N'avoir aucun regret dans les affaires.
o Ne jamais jalouser autrui en bien ou en mal.
o Ne jamais être attristé par toutes séparations.
o N'éprouver aucune rancune ou animosité vis-à-vis de soi ou des autres.
o N'avoir aucun désir d'amour.
o N'avoir aucune préférence en toutes choses.
o Ne jamais rechercher son confort.
o Ne jamais rechercher les mets les plus fins afin de contenter son corps.
o Ne jamais s'entourer, à aucun moment de la vie, d'objets précieux.
o Ne pas reculer pour de fausses croyances.
o Ne jamais être tenté par aucun objet autre que les armes.
o Se consacrer entièrement à la Voie sans même craindre la mort.
o Même vieux n'avoir aucun désir de posséder ou d'utiliser des biens.
o Vénérer les bouddhas et divinités mais ne pas compter sur eux.
o Ne jamais abandonner la Voie de la tactique.
• Deuxième année de Shoho, le 12 mai (1645) Shimmen Musashi.
Vaisseau
Kusanagi no Tsurugi
l'épée de Kusanagi est une épée légendaire japonaise aussi importante dans ce pays qu'Excalibur l'est en Angleterre ou que Durandal l'est en France. Elle fut l'une des trois reliques sacrées de la légitimité du trône impérial du Japon féodal. Son nom complet est « Ama no Murakumo no Tsurugi » (lit. Épée du ciel aux nuages regroupés) mais elle est populairement nommée Kusanagi (Coupeuse d'herbe). On peut aussi l'appeler « Tsumugari no Tachi » On considère actuellement qu'elle doit ressembler à une épée de l'âge de bronze à double tranchant, courte et droite - ce qui la différencie totalement du style des sabres japonais, qui ont des lames courbes à un seul tranchant. On peut la manier à une ou deux mains.
Selon la tradition, l'épée fut perdue le 25 avril 1185 lorsque l'empereur Antoku se jeta à la mer après la défaite de son camp à la bataille de Dan-no-ura. Elle aurait par la suite été retrouvée et serait conservée au sanctuaire d'Atsuta à Nagoya en tant que l'un des trois insignes sacrés de la maison impériale confiés par Amaterasu à Ninigi.
Celeborn
Seigneur des elfes de la Lothlórien, prince Sindar de Doriath, Celeborn, qui signifie « Grand d'argent » en sindarin, était un parent du Roi Elu Thingol car il était le petit-fils d'Elmo,frère du Roi Elwë .Il dirigea la Lorien,ne se considérant pas comme roi, à l'aide de son épouse Galadriel après la disparition en mer du dernier Roi Amroth qui mourut d'amour pour Finduilas en l'année 1981 du Troisième Âge. Au Premier Âge du Soleil, il épousa Galadriel, une Noldo, fille de Finarfin et s'établirent à Menegroth du temps de la splendeur du règne de Thingol et de son épouse Melian mais après la trahison des Nains et la Ruine de Doriath, Celeborn et son épouse s'en furent au Lindon, à l'ouest de l'Ered Luin. Vers l'année 700 du Deuxième Âge Celeborn et son épouse fondèrent le Royaume de l'Eregion, et ils firent construire la ville d'Ost-in-Edhil pour contrer la menace grandissante du retour de l'Ombre à l'Est, à partir de 750 2A. En l'an 1000 2A, Celeborn refusa de suivre son épouse lorsque celle-ci partit s'établir en Lothlórien par-delà les Monts Brumeux : car Celeborn était un proche parent de Thingol et il fut témoin de la trahison des Nains entraînant la ruine de Doriath.De ce fait,il garda toujours une rancœur envers cette race, et lorsqu'il s'installa en Eregion, la proximité avec le royaume de Khazad-dûm,innocent pourtant, semblait lui déplaire, à l'inverse de son épouse Galadriel qui entretenait d'excellentes relations avec eux.
Quand Beleriand fut englouti, Celeborn et Galadriel s'enfuirent en Lindon et y restèrent jusque dans les années 700 du deuxième âge du Soleil, date à laquelle ils partirent en Eregion au royaume des elfes orfèvres jusqu'à ce que Sauron n'envahisse le pays et tue Celebrimbor. Plus tard, ils s'installèrent définitivement en Lothlórien sur le Celebrant (Cours d'argent) et donnèrent naissance à Celebrían qui épousa Elrond d'Imladris en l'an 109 du Troisième Âge.Durant le troisième âge du Soleil, il défendit la Lothlórien contre trois assauts des orques de Sauron. Il conduisit son armée dans la Forêt Noire et y détruisit la forteresse de Dol Guldur. Quand Galadriel s'embarqua pour Valinor à la fin de la guerre de l'anneau, Celeborn et ses elfes sylvestres établirent la Lórien orientale dans ce qui était la forêt noire, royaume sur lequel il régna pendant quelque temps avant de se retirer à Fondcombe.
Celeborn est parti à Valinor au cours du quatrième age.
Vaisseau
Caras Galadhon.
Parmi les plus belles forêts de la Terre du Milieu, on compte la Lórien. Demeure des Elfes Sylvains appelés Galadhrim, ce lieu, qui s'étend entre les Hithaeglir et l'Anduin, au fil du Celebrant, porte le nom de "Bois Doré".
Et d'or, il l'est. Car ici poussent des mellyrn, dont de gigantesques spécimens au centre de la forêt. Ils portent les habitations des Elfes, là-haut, dans leurs branches. Le plus beau et grand de ces arbres se trouve au centre de la capitale elfique de Caras Galadhon. De nombreuses fleurs, telles la niphredil et l'elanor, jalonnent également cette terre en abondance. A Caras Galadhon se trouve la source de l'étrange aura qui entoure ce domaine : Galadriel.